La particularité de l’écriture musicale grégorienne réside dans ces groupes de notes carrées que l’on appelle neumes, c'est-à-dire groupe de notes se chantant dans un même souffle de voix, formant une unité mélodique à la base de la construction de la phrase musicale. Ce regroupement de notes s’appuye non seulement sur une logique des sons que le compositeur veut lier, mais également sur les syllabes des mots qui composent la prière.